VOUS, OUI VOUS.
Où
que vous soyez, quoi que vous fassiez, prenez le temps de lire ceci.
Installez-vous
confortablement, videz votre tête lisez et réfléchissez à cette question :
Faites-vous
ce que vous voulez vraiment de votre vie ?
Dites-moi
si je me trompe : Tous les jours vous vous réveillez dans la même pièce,
vous mangez sans vous en rendre compte, vous allez à votre travail sans
entrain, vous voyez les mêmes personnes, vous suivez les mêmes trajets. Bref
vous vivez aujourd’hui ce que vous avez vécu hier et que vous vivrez demain. Tout
est planifié, assuré.
On
vous dit que vous êtes né libre. L’êtes-vous ? Votre vie est-elle une aventure
?
VOYEZ :
La
nourriture, l’eau, la terre appartiennent à qui ? À vous ou à des entreprises ?
Essayez
seulement de prendre un fruit dans un arbre, il est empoisonné
Essayez
seulement de boire l’eau des rivières, elle est polluée
Essayez
seulement de construire votre maison sur un lopin de terre au hasard de vos
promenades (si vous en faites encore) Vous serez arrêté.
Vous
êtes formatés dès votre plus jeune âge.
Les
manuels vous apprennent des mensonges, vous noient dans des histoires sans fin.
Vous souvenez-vous d’avoir posé la question : D’où venons-nous, pourquoi ?
Si
vous l’avez posée avez-vous eu une réponse ?
Vous
devez être en conformité avec ce qu’on attend de vous et non vous-même. Vous
devez répondre aux normes tout comme la tomate de votre supermarché. Vous êtes
unique et pourtant on vous forme pour que vous soyez tous pareils. La
différence est une erreur. Votre normalité ? Avoir reçu l’éducation pour faire
votre travail mais ne pas répondre à la question pourquoi vous faites ce travail.
Votre
vie file à vive allure et un jour le cimetière est votre dernière demeure sans
que vous sachiez pourquoi, comment, ce qu’est LA VIE.
Entre la naissance et la
mort il y a un pas-sage et pourtant vous avez vécu comme on vous l’a appris :
sois-sage obéissant.
Qu’êtes-vous
devenu alors ?
Rien
d’autre que l’énergie qui permet à une élite d’avoir le pouvoir sur vous, sur l’humanité,
sur la planète.
Vous croyez être libre alors que vous n’êtes qu’un esclave
vivant votre vie non pas dans votre monde mais dans le monde de l’élite qui se
cache derrière les logos de belles entreprises.
Vous construisez leurs villes,
vous faites fonctionner leurs machines, vous vous battez dans leurs guerres, vous
faites vivre leur économie.
Ah oui vous gagnez de l’argent que l’élite vous
reprend bien vite.
L’argent,
ce bel outil qui vous asservit totalement. Il est ce papier qui vous permet de
vous nourrir, de vous déplacer, de vous divertir, de vous faire croire à votre
propre puissance.
L’élite a créé l’argent pour que vous lui donniez le monde en
échange.
Je
suis libre disiez-vous !
Regardez
leur monde qui est devenu le vôtre.
-Là où les arbres purifiaient l’air, les
usines l’empoisonnent
-Là où il y avait de l’eau claire, les
déchets toxiques la rendent non potable
-Là où il y avait des animaux libres de
leur mouvement, il y a des usines agricoles où on fait naître et mourir sans
fin
-Les ¾ de la population de la planète sont
affamés alors que 70% des cultures de céréales sont destinés aux animaux qui
vont être tués pour alimenter ¼ de la population.
Qu’êtes-vous
devenus ?
-Vous êtes devenus un fléau pour la
terre.
Vous êtes devenus un fléau pour les ¾ de
la population de la terre.
-Vous êtes devenus un fléau parce que
vous voulez posséder, consommer, voler.
Une
sagesse amérindienne dit que :
-
Quand la terre ne vous nourrira plus que
de mort,
-
Quand vous ne respirerez plus que de la
mort,
-
Quand vous ne boirez plus que de la
mort,
- Alors votre argent ne servira plus à
rien et vous découvrirez que ce papier ne vous fait pas vivre
Savez-vous que chaque année des espèces disparaissent en grand nombre de la surface
de la planète ?
Savez-vous
que, vous, le ¼ de la population mondiale vous avez 1 chance sur 2 de faire un
cancer, 1 chance sur 3 de faire un accident cardiaque ? Mais les médicaments
sont là pour vous tirer d’affaire n’est ce pas. Et bien …..
Savez-vous
que la consommation de médicament est la troisième cause de mortalité dans
votre monde ?
Et vous donnez encore plus d’argent pour la création de nouveaux
médicaments !
Savez-vous
que les compagnies pharmaceutiques vivent parce que vous êtes malades et qu’ils
font des profits sur vos souffrances ?
Alors
vous courrez,
vous courrez de plus en plus pour différentes causes, vous
courrez.
La cause première de vos courses c’est la FUITE.
Votre corps vous
demande de fuir. Il vous dit qu’il n’en peut plus de ce monde dans lequel vous
le faites «évoluer». Trop de toxicités par abus, par manque de volonté. Vous ne
le nourrissez pas, vous le remplissez de produits toxiques pour le profit des
compagnies agro-alimentaires.
Ah
mais oui vous êtes informés !
Savez-vous
que les médias appartiennent à ceux qui vous formatent. Elles vous abreuvent de
fictions vous faisant croire à la réalité.
Elles ne vous disent pas que NON vous n’êtes pas le centre de la planète et que NON la terre n’est pas centre de
l’univers.
Elles vous gavent le cerveau de mensonges et d’illusions.
Vous avez
des ordinateurs, de superbes véhicules, de magnifiques maisons uniquement pour alimenter
votre paresse et pas vos neurones.
Vous vous habillez de belles toilettes, vous vous
parez de beaux bijoux, vous vivez accrochés au «I». Vous êtes branchés, à la
pointe de la mode.
Mais dites-moi quand vous vous retrouvez seul dans le
silence
Savez-vous qui vous êtes ?
Savez-vous
qu’il n’y a qu’à peine moins d’un siècle que le noir est l’égal du blanc sur le
papier, que les femmes ont une âme et peuvent voter, sur le papier. Parce que
dans votre décor ce n’est pas encore tout à fait çà. L’autre n’existe que pour
vous servir. Vous l’exploitez, vous le tuez, qu’il soit poulet, vache ou
étranger.
Et
pourtant vous savez aimer et comprendre. Vos voisins, vos parents, votre chien,
votre chat en sont les témoins.
Tuer
l’autre c’est vous tuer vous-même.
Comprendre l’autre dans sa différence, c’est
vous connaitre vous-même, c’est vous sauver vous-même.
Dites-moi qu’allez-vous laisser à vos enfants, vos petits-enfants ? Qu’avez-vous fait
pour l’humanité, pour votre humanité ?
N’oubliez
jamais que chaque seconde peut être la dernière. C’est encore plus vrai aujourd’hui
dans le monde que vous avez aidé à construire et qui est prêt à s’écrouler car
la violence qui l’envahit finira par détruire toute forme de solution.
Ah
oui vous vivez en démocratie et vous pouvez voter !
Savez-vous
que les élections c’est comme jouer à pile ou face. Ce sont les deux mêmes
côtés de la pièce. Vous choisissez la face que vous voulez vous donnant l’illusion
d’un choix, d’un changement. Mais le monde reste le même car les politiciens ne
servent qu’une seule cause : celle qui les a portés au pouvoir en les
finançant.
Où
est le leader qui vous réveillera ?
Où
est le leader qui vous lèvera ?
L’aspiration
de chaque être humain sur l’ensemble de cette planète est la même : le
bonheur
Où est-il ?
Au
fond de chacun de vous tout simplement.
Connectez-vous
à vous-même.
Soyez
le changement vous-même.
Souvenez-vous que
l’humanité a évolué non pas parce que les hommes sont plus rapides, plus forts mais parce qu’ils ont su s’adapter à leur environnement en travaillant ensemble
et jamais contre.
Ce
n’est pas la planète qu’il faut sauver,
C’EST VOUS.
Votre existence en tant qu'humain n'a que quelques secondes à l’échelle du temps mais votre impact sera
éternel.
Aujourd’hui
vous avez un outil extraordinaire, bien plus puissant que toutes les armes de
destruction qu’on vous a fait construire.
Cet outil s'appelle Internet et il peut être utilisé pour
rassembler tous les humains.
Tous
ceux qui ont fait avancer l’humanité comptent sur vous.
Vous êtes les témoins
de cette recherche du bonheur de l'humanité toute entière. Vous connaissez leurs erreurs. Vous avez aujourd’hui
la plus fantastique opportunité de continuer d’écrire l’histoire du bonheur, de
la joie de vivre ensemble.
Ne
décevez pas les générations futures.
Secouez-vous,
Soyez le changement.
Pour le
pas que vous ferez, plusieurs vous suivront et les leaders que vous cherchez seront
prêts à agir à vos côtés.
Merci à Spencer Cathcart